Au pays des fées déguisées en sorcières et des lutins aux allures de patauds ! Et voilà la jolie guirlande d'Iza pour nous préserver des humeurs maussades. Et cette façade d'aquarelles aux couleurs si chaudes et lumineuses : c'est un conte, oui, et dans lequel on veut pénétrer pour n'en plus jamais sorir !
une symphonie déconcertante, dominée par le barrissement de l'éléphant : ce juillet est décidément exceptionnel.
RépondreSupprimerAu pays des fées déguisées en sorcières et des lutins aux allures de patauds ! Et voilà la jolie guirlande d'Iza pour nous préserver des humeurs maussades. Et cette façade d'aquarelles aux couleurs si chaudes et lumineuses : c'est un conte, oui, et dans lequel on veut pénétrer pour n'en plus jamais sorir !
RépondreSupprimerMais où est passé le paravent ? Le filtrant des magies ? L'écorce métamorphosée du mûrier ?
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